Deux êtres de chair et de sang mais si différents que l’existence de l’un est faite de conquête féminine et d’aisance pécuniaire, et l’autre doit subir la pauvreté, l’abstinence sexuelle et même les quolibets des « gens bien ». Pourquoi ? <br>Parce que l’un est beau comme un Adonis de l’Antiquité avec une intelligence supérieure… et l’autre est le contraire de beau (je refuse de qualifier un humain de laid) et un cerveau de faible capacité. <br>Mais le beau aurait-il le droit de tuer de jeunes femmes sans être accusé par le contraire de beau qui lui a tout vu ? <br>Mais là encore, il y a des différences dans le déroulement de la justice, l’aisé peut financer un avocat de grand talent, et le modeste accusateur, à lui, on lui fournit un défenseur d’office rémunéré par la société.<br>Un duel inégal s’engage.<br>Un combat avec une fin… apocalyptique !<br><br>À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br>Né en 1947 à Saint-Quentin dans l’Aisne (02), <b>Arilde Bacon</b> a vécu toute sa vie professionnelle à la Société « Shell ».<br>Académicien de Provence, <i>Le Beau et son Contraire</i> est son seizième ouvrage.