Ce livre est l&rsquo;&eacute;pop&eacute;e du bas-ventre.<br />La L&eacute;gende des sexes n&rsquo;est point une parodie, elle est un compl&eacute;ment: le compl&eacute;ment d&rsquo;une &oelig;uvre gigantesque et lumineuse, mais incompl&egrave;te &agrave; notre sens.<br />Prenant l&rsquo;&ecirc;tre, Victor Hugo le regarda sous trois faces et crut l&rsquo;avoir vu tout entier.<br />Apr&egrave;s qu&rsquo;il e&ucirc;t dress&eacute; le grand miroir triangulaire de sa l&eacute;gende, il le fit tourner sur l&rsquo;axe d&rsquo;une id&eacute;e pr&eacute;con&ccedil;ue: la constatation du progr&egrave;s.<br />Il l&rsquo;avoue: il vit l&rsquo;Homme, il vit le Mal, il vit l&rsquo;Infini; le progressif, le relatif, l&rsquo;absolu; et il en fit trois chants: la L&eacute;gende des Si&egrave;cles, la Fin de Satan, Dieu.<br />Entendez bien ceci: il vit l&rsquo;Homme, le progressif...<br />Mais l&rsquo;homme progresse-t-il tout entier? N&rsquo;est-il pas en lui des Facult&eacute;s et des Sens, des parties de l&rsquo;&acirc;me, si j&rsquo;ose dire, qui eurent d&egrave;s la premi&egrave;re heure toute la puissance du plein d&eacute;veloppement; des perfections inn&eacute;es et instinctives; des modes de faire qui atteignirent d&rsquo;un bond les hauteurs que les races &eacute;pur&eacute;es n&rsquo;ont pu et ne pourront d&eacute;passer?<br />Certes, il en existe: tels l&rsquo;Art et la Science du Rut et du Co&iuml;t.