<p><i>Orpailleur de lucioles</i> est un cri.</p><p>Un cri de détresse d’un poète qui voit le champ de la poésie se rétrécir au point d’être menacée d’extinction. Un cri de révolte contre une humanité, qui en plus de mettre en péril sa planète, se suicide à coups de haine et de sectarismes. Un cri d’amour, aussi, parce qu’Aragon avait raison : la femme est l’avenir de l’homme, et seul l’amour nous sauvera. Un cri d’espoir, enfin, parce que du fond du gouffre brille une petite étincelle : quelques irréductibles utopistes continuent de frotter la plume contre du papier, pensant rallumer le feu sacré en éclairant le monde de leurs vers luisants.<br/><br/><br/>À PROPOS DE L'AUTEUR<br/><br/><b>Eric Quintric-Divérrès </b>a grandi en Égypte, où, après des études de sciences-po à l’Université Américaine du Caire, il exercera les métiers d’enseignant, traducteur, journaliste et photographe. En 2013 il revient dans le village maternel de Lampaul-Plouarzel (Finistère) pour se consacrer à l’écriture. Il en résultera un premier recueil, <i>Exils Salutaires</i>, ainsi qu’un roman : <i>Rêve d’enFrance</i>.</p><p>Il découvre les Landes en 2019 et comprend que sa place est là, à Vielle-Saint-Girons, au bord de l’océan. (Homme libre, toujours tu chériras la mer…). Auto-proclamé réfugié climatique loin du crachin, il y trouve l’asile poétique. En y jetant l’ancre, le poète a le sentiment d’être enfin arrimé.</p><p>Membre de la SFP (Société des Poètes Français) et de la SAPF (Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie), il partage quotidiennement ses nouveaux écrits sur sa page Facebook et son blog « A quoi s’arrime le monde ? »</p><p>(https://ericquintricdiverres.blogspot.com/)<br/></p>