Comme le héros de <i>Deuxième mi-temps</i>, Hugues Serraf a quitté Paris pour Marseille et un métier normal pour la littérature. Comme lui, il aimerait bien que sa nouvelle carrière décolle avant d’avoir mangé toutes ses économies.<br/><br/>Est-ce la raison pour laquelle son héros écrit des thrillers quand lui préfère s’adonner à la comédie sentimentale ?<br/><br/>Simultanément émouvant, désopilant, déprimant voire touristique et parfois même par inadvertance pédagogique, <i>Deuxième mi-temps</i> est son troisième roman, mais ne parle surtout pas de foot.<br/> <br/>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE<br/><br/>« Il croque son monde avec distance et bienveillance, et nous emmène avec lui visiter la cité phocéenne. » <b>Yaël Hirsch, Toute la Culture</b><b><br/></b><b><br/></b>« Porté par un langage vif et décontracté, c’est aussi la leçon de vie d’un homme qui se réinvente à une période que certains nomment l’automne de la vie. » <b>Daniel Fattore</b><b><br/></b><b><br/></b>« léger et enlevé »<b> Lyvres.fr</b><br/><br/>À PROPOS DE L'AUTEUR <br/><br/><b>Hugues Serraf</b> est journaliste et écrivain. Après <i>Deuxième mi-temps</i>, paru aux éditions Intervalles en 2018, <i>Le Dernier juif de France</i> est son quatrième roman. Un roman qui parle d’une presse en déroute et de juifs ordinaires en proie au doute dans une France qui ne l’est pas moins. Un roman qui choisit le ton de la comédie pour traiter de sujets ô combien essentiels.