Le r&eacute;giment partit avec une telle pr&eacute;cipitation que Simon n&rsquo;eut pas le temps de se s&eacute;parer du d&eacute;p&ocirc;t confi&eacute; par Rolande.<br />Il le portait enferm&eacute; dans un &eacute;tui de cuir suspendu par un cordon contre sa poitrine et, dans cette m&ecirc;me pochette, il avait plac&eacute; les photographies de tout ce qu&rsquo;il avait de plus cher au monde : Rolande et Jean-Louis. Ainsi, parmi les travaux et les fatigues, les joies ou les tristesses, il continuerait de vivre aupr&egrave;s d&rsquo;eux&hellip;<br />&nbsp;