Cet ouvrage est un journal de bord tenu au jour le jour pendant cinquante cinq jours de confinement. <br>L’auteure a commencé cette chronique, un peu par jeu, pour occuper ces journées qui s’annonçaient à perte de vue, inoccupées et inactives, et pour une durée inconnue. Leur vide l’effrayait. Pour occuper le temps, écrire lui est apparu comme une évidence : c’était « faire quelque chose » en réponse à cette mise en repos forcée, imposée. C’était laisser une trace de cette période pour le moins extraordinaire. C’était aussi une sorte de défouloir. <br>Et puis elle y a pris goût. Peu à peu, cela est devenu indispensable, comme une sorte de planche de salut, une raison de continuer jour après jour. Ces écrits postés au quotidien sur sa page Facebook ont reçu un accueil favorable près du public, certains affirmant « qu’ils attendaient de lire » sa page avant d’aller se coucher. Écrire est devenu indispensable.<br><br>À PROPOS DE L'AUTEURE<br><br><b>Marie-Hélène Courtin</b> est née en 1950 à Calvisson dans le Gard. <br>Après des études de Lettres Classiques (Français, Latin, Grec ancien), de piano et de chant classiques, elle mène depuis 1978 des carrières parallèles : Chanteuse (auteure-compositeur-interprète) avec cinq albums à son actif. Musicienne (piano, accordéon, guitare). Comédienne au sein de diverses compagnies. Auteure de théâtre. <br>Elle est en outre professeure de yoga et pratique régulièrement la randonnée et le Qi Gong.