<b>Découvrez la vie paradisiaque d'un village écologique avant l'arrivée des explorateurs.</b><br><br>Réalité fictive, <i>Les mystères de mon écologique beau village</i> est un roman rempli des mystères relatant l’état passé et actuel d’un village écologique après passage des explorateurs. Il relate une vie paradisiaque d’un peuple en son temps, leurs interactions avec la nature et leurs modes de préservation de l’environnement. Il met au point l’importance d’un environnement protégé dans une société. Il démontre de même qu’à partir de la nature bien protégée, ressort de là une saine santé en mettant en cause les maladies actuelles liées à nos alimentations. Il est rempli de l’histoire des corps étrangers qui collaborent avec les habitants du village avec particulièrement Songa, Kagué et Malaye qui sont les principaux acteurs des différentes scènes mystérieuses. Il définit l’action des explorateurs à leurs arrivés dans le village face à la nature qu’ils découvrirent naturelle. Il dénonce d’une autre façon les menaces perpétuées contre l’environnement et les conséquences liées à cet acte telles que l’immigration et l’extinction du village une fois les ressources épuisées. Cette histoire fondée sur les réalités donnera au lecteur une envie forte de mener au moins une action positive dans sa vie face à l’environnement.<br><br><b>Ce roman, inspiré de faits réels, invite à agir pour préserver l'environnement et à retrouver une vie en harmonie avec la nature !</b><br><br>EXTRAIT<br><br>Les fruits issus des cueillettes étaient des fruits de qualité exceptionnelle. Ces fruits issus de la vraie nature n’avaient jamais subi l’effet des modifications dans leurs gènes et avaient un goût exceptionnel, ne se conservaient guère dans les congélateurs, n’avaient jamais besoin d’une température différente de celle de la nature qui ne variait jamais. Mais pouvaient passer tout un hiver sans être décomposé et conservaient ses mêmes propriétés du départ. Ils constituaient pour mon peuple une source alimentaire intarissable, récoltées à volonté. La population ne vendait non plus, ni exportait. Sa consommation était limitée au besoin du corps. Les différentes périodes de récoltes étaient organisées par le roi, le chef suprême du village. Ils n’étaient jamais cueillis de manière prématurée. Sans une étude agronomique, le Chef du village savait à quel période et moment de l’année que tel fruit de telle plante était récoltable. Avec un sol sous des arbres naturels traversé par des cours d’eaux avec une caractéristique limoneuse, constituant de l’engrais biologique pour les habitants du village, fournissait un rendement de qualité rarissime en agriculture pour la population. Tout type de graine ensemencée y germait et donnait au village une indépendance totale en agriculture. La faim était un mot qui n’existait pas. Tout le monde avait la possibilité de cultiver sans découragement. Les denrées stockées après les récoltes n’étaient points attaquées par les ravageurs (les insectes, les moisissures, les rongeurs etc.) qui trouvaient leurs compte dans leur environnement naturel. Le vrai soleil couvert par la couche d’ozone sans un petit trou, leur permettait de sécher leurs denrées de manière parfaite. Il n’y avait pas une période pour la culture, on semait à tout moment quand le besoin se fait sentir.<br><br>À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br><b>Théophile Dessenbe</b> est né en 1993 à Kélo, dans le sud-est du Tchad. Entomologiste Agricole, il est Enseignant Chercheur de profession, auteur de plusieurs articles scientifiques et de deux autres romans en cours de publication. Son affection pour l’écriture et la recherche lui permet de dénoncer les injustices cachées dans la société et de combattre l’insécurité alimentaire au travers de ses voyages pour les symposiums scientifiques dans les pays Africains.