Thomas Troward &eacute;tait un membre &eacute;minent et influent de l&#39;Alliance internationale de la Nouvelle Pens&eacute;e. Il est l&#39;un des p&egrave;res fondateurs de ce qui est aujourd&#39;hui commun&eacute;ment appel&eacute; la <i>Pens&eacute;e Positive</i>. Il s&#39;est plong&eacute; dans l&#39;&eacute;tude des livres sacr&eacute;s et des religions orientales, qui ont eu une forte influence sur ses id&eacute;es spirituelles. G&eacute;nie absolu, ses &eacute;crits sont fascinants et intemporels. Le philosophe William James a d&eacute;clar&eacute; : ce texte de Troward est &quot;de loin le meilleur expos&eacute; de philosophie que j&#39;ai rencontr&eacute;, magnifique dans la clart&eacute; soutenue de sa pens&eacute;e et de son style, un expos&eacute; vraiment classique&quot;.<br />Cet ouvrage est un aper&ccedil;u ph&eacute;nom&eacute;nal du fonctionnement interne du corps, de l&#39;&acirc;me et de l&rsquo;esprit. Il aborde de nombreux th&egrave;mes dont les grandes lois de la nature : la loi de croissance,&nbsp; la loi de causalit&eacute;, la loi de l&rsquo;attraction&hellip; Troward s&rsquo;attarde &eacute;galement sur le pouvoir mental, sur les ph&eacute;nom&egrave;nes de gu&eacute;rison, sur la visualisation cr&eacute;atrice, sur l&rsquo;intuition et le pouvoir incommensurable du subconscient. Cette incroyable lecture requiert une attention totale, car chaque phrase est remplie de pens&eacute;es profondes et critiques, de liens logiques et vous d&eacute;livrera une sagesse ultime.<br /><br /><i>Extrait:</i><br /><i>Au d&eacute;but d&rsquo;un cours sur la Science Mentale, il est quelque peu difficile pour le conf&eacute;rencier de choisir la meilleure fa&ccedil;on d&rsquo;aborder le sujet. On peut l&rsquo;aborder sous de nombreux angles, chacun pr&eacute;sentant des avantages particuliers&nbsp;; mais, apr&egrave;s m&ucirc;re r&eacute;flexion, il me semble que, pour les besoins du pr&eacute;sent cours, on ne saurait choisir de meilleur point de d&eacute;part que la relation entre l&rsquo;Esprit et la Mati&egrave;re. Je choisis ce point de d&eacute;part parce que la distinction &mdash; ou ce que nous croyons &ecirc;tre une telle distinction &mdash; entre les deux est une distinction qui nous est si famili&egrave;re que je peux supposer sans risque qu&rsquo;elle est reconnue par tout le monde&nbsp;; et je peux, par cons&eacute;quent, &eacute;noncer imm&eacute;diatement cette distinction en utilisant les adjectifs que nous utilisons habituellement pour exprimer l&rsquo;opposition naturelle entre les deux &mdash; esprit vivant et mati&egrave;re morte. Ces termes expriment avec suffisamment d&rsquo;exactitude notre impression actuelle de l&rsquo;opposition entre l&rsquo;esprit et la mati&egrave;re, et, consid&eacute;r&eacute;e seulement au point de vue des apparences ext&eacute;rieures, cette impression est sans doute correcte. Le consensus g&eacute;n&eacute;ral de l&rsquo;humanit&eacute; a raison de se fier &agrave; l&rsquo;&eacute;vidence de nos sens, et tout syst&egrave;me qui nous dit que nous ne devons pas le faire n&rsquo;obtiendra jamais une assise permanente dans une communaut&eacute; saine et raisonnable. Il n&rsquo;y a rien de mal dans le t&eacute;moignage transmis &agrave; un esprit sain par les sens d&rsquo;un corps sain, mais le point o&ugrave; l&rsquo;erreur s&rsquo;insinue est lorsque nous en venons &agrave; juger de la signification de ce t&eacute;moignage.&nbsp;</i>