Charles Nodier eBooks
eBooks di Charles Nodier di Formato Mobipocket
Infernaliana . E-book. Formato Mobipocket Charles Nodier - Charles Nodier, 2016 -
De toutes les erreurs populaires, la croyance au vampirisme est à coup sûr la plus absurde; je ne sais même si elle ne l'est pas plus que les contes de revenans. Les vampires ne furent guère connus que vers le dix-huitième siècle. La Valachie, la Hongrie, la Pologne, la Russie, furent leurs berceaux. Voltaire, dans son Dictionnaire philosophique, nous dit: «On n'entendit parler que de vampires depuis 1730 jusqu'en 1735; on les guetta, on leur arracha le coeur, on les brûla: ils ressemblaient aux anciens martyrs; plus on en brûlait, plus il s'en trouvait.» Il est étonnant que des être raisonnables aient pu croire si long-tems que des morts sortaient la nuit des cimetières pour aller sucer le sang des vivans, et que ces mêmes morts retournaient ensuite dans leurs cercueils. Nous pouvons certifier cependant que des gens de mérite y ont cru, et que l'autorité elle-même a servi à propager de semblables absurdités. Nous engageons nos lecteurs à se défier de ces récits ainsi que des prétendues histoires de revenans, de sorciers, de diables, etc. Tout ce qu'on peut dire et écrire sur ce sujet, n'a aucune authenticité et ne mérite aucune croyance.
Franciscus Columna. E-book. Formato Mobipocket Charles Nodier - Biblohaus, 2015 -
traduzione di giovanni fazzini scritti di giovanni fazzini e gianluca montinaro a cura e con un saggio di massimo gatta L’ultima novella di Charles Nodier, dedicata ad Aldo Manuzio, pubblicata postuma. Lo scrittore francese, sommo bibliofilo, così venne ricordato dalla celebre rivista che aveva fondato e alla quale collaborava assiduamente: “Oggi la Francia rimpiange uno dei suoi più grandi scrittori; l’Académie française, uno dei suoi membri più utili, e noi piangiamo l’amico prezioso e amorevole che ci guidava con i suoi consigli, che ci prodigava gli insegnamenti della sua bella esperienza letteraria, che infine scriveva per tutti noi una delle sue novelle più graziose, l’ultima che sia uscita dalla sua sensibile penna, elegante e casta”. «Bulletin du Bibliophile», n. 13, gennaio 1844.