Jean Louis De La Vaissiere eBooks
eBooks di Jean Louis De La Vaissiere di Formato Epub
André (1938-1698)Des justes - Tome II. E-book. Formato EPUB Jean-Louis De La Vaissière - Nouvelle Cité, 2020 -
Surmonter les déchirures. La guerre d’Espagne et le nazisme amènent la division chez les Lavergne : collaboration, passivité, résistance… Matthieu, cinéaste reconnu, vit à Paris la guerre et le départ de ses fils au front avec angoisse, rêvant du ressourcement dans son Auvergne natale. Comment résister quand on déteste les armes ? André, frère de Matthieu, commissaire à Aurillac, est maréchaliste convaincu. Les rafles des Juifs peuvent-elles laisser indemne quand on est fils de Blanche ? Leur frère adoptif Dieudonné est, quant à lui, ébloui par les jours meilleurs promis par le communisme. Son enthousiasme lui vaudra d’être choisi pour rencontrer les « camarades » moscovites, voyage au péril de sa vie. Les idéaux dispersent les cœurs et enflamment les esprits. Les femmes et le temps font contrepoids, mais cela suffira-t-il pour supporter l’après-guerre, pour reconstruire un monde de paix ?André 1938-1698 est le deuxième tome de la saga des Justes commencé avec Blanche 1900-1930.À PROPOS DE L'AUTEUR Jean-Louis de la Vaissière est journaliste et écrivain. Il travaille à l’Agence France-Presse, a été en poste à Téhéran, Bonn, Berlin, Rome, Genève, au Vatican, à Rennes puis Paris où il est en charge de la rubrique arts. Il a écrit plusieurs essais sur l’identité allemande, sur l’Église et les papes et un premier roman : Trois frères et l’éternité, Prix des lecteurs Notre Temps 2015.
Blanche 1900-1930Tome 1. E-book. Formato EPUB Jean-Louis De La Vaissière - Nouvelle Cité, 2019 -
Au début du XXe siècle, en Auvergne, l'arrivée de deux Africains va perturber la quiétude d'un petit village.Dans l’Auvergne de ce début de XXe siècle, l’arrivée de Félicité et Dieudonné, deux jeunes Africains rescapés d’un massacre en Oubangui-Chari, aux côtés de l’oncle missionnaire Amédée, ne peut que susciter la curiosité, bien vite transformée pour les uns en amitié complice, pour d’autres en méfiance viscérale. Le jeune Matthieu accueille Dieudonné comme un frère et s’apprête avec lui à affronter des temps qui foisonnent d’idées nouvelles mais ruminent revanchisme et racisme. Blanche, Matthieu, Dieudonné, Amédée, Adèle et d’autres luttent pour défendre leur liberté intérieure. Face au progrès qui prétend pouvoir apporter toutes les réponses, et malgré le séisme de la Grande Guerre, l’irruption de l’amour changera le destin de chacun.Au travers d'un roman d'amitié et d'amour, l'auteur nous emmène à la découverte d'un époque où, déjà, les valeurs humanistes se confrontent à la peur et la méfiance.EXTRAITChacun à leur rythme, Dieudonné et Félicité vont se faire adopter. Blanche les traite avec affection tout en maintenant une distance. Elle les intimide. Dans son for intérieur elle se tourmente, pensant à leurs épreuves qu’Amédée lui a laissé entrevoir. Épreuves morales et psychologiques qu’elle visualise – le village brûlé, les parents tués devant leur case, la faim, la soif, la maladie, l’abandon au bord de la piste, au milieu des cohortes de fugitifs –. Souvent, observe-t-elle, Félicité se refuse à parler, ou n’y parvient plus. Blanche écoute un bref récit, toujours le même, avec les quelques mots que Félicité a à sa portée : Amédée est arrivé le matin après la nuit de peur ; son frère a paru mort au père blanc mais Amédée a vu qu’il vivait encore. Il l’a ranimé, lui faisant un massage cardiaque. Ils ont marché vers la petite ville où ses parents allaient au marché…Ce Dieudonné, en apparence d’excellente santé, large et fort, de quelle maladie souffre-t-il, se demande Blanche, et que faire s’il tombe inconscient de nouveau ? Il n’y a pas de docteur à la ronde.Elle les aime tous deux mais d’une façon différente des autres. Ils ont leur place à eux, leur histoire, leur passé. Par respect pour la vie qu’ils ont eue avant, elle n’a pas à être familière, à s’imposer comme une mère qui prétendrait tout savoir.Les deux frère et sœur de l’Oubangui-Chari apportent dans la maisonnée comme un chant d’ailleurs. Au début ils mangent avant et à part, mais au bout d’un mois rejoignent la table familiale. Une table, où selon la règle d’alors, les plus petits demandent la permission pour prendre la parole. Ils s’assoient à la gauche de Tonnerre qui se fait protecteur et reprend ses fils aînés quand ils se moquent d’eux : c’est-à-dire, à chaque occasion.À PROPOS DE L'AUTEURJean-Louis de la Vaissière est journaliste et écrivain. Il travaille à l’Agence France-Presse, a été en poste à Téhéran, Bonn, Berlin, Rome, Genève, au Vatican, à Rennes puis Paris où il est en charge de la rubrique arts. Il a écrit plusieurs essais sur l’identité allemande, sur l’Église et les papes et un premier roman : Trois frères et l’éternité, Prix des lecteurs Notre Temps 2015.